2009/12/25

Ils sont de retour, ils ne manquaient plus qu'eux !

Après les Daleks, le Maître, Davros,... les derniers ennemis du dixième Docteur (David Tennant) sont son propre peuple, the Time Lords.



Comme c'est la bande-annonce de la seconde partie du grand final, The End of Time, du premier janvier prochain, reste à voir la première : pourquoi eux ? Comment sont-ils revenus ? Que veulent-ils ?... c'est-à-dire en dehors d'exterminer l'humanité.

La tonalité du onzième Docteur sera certainement très différente.

2009/12/23

'Avatar' : non, oui, mais...

Non, rien de nouveau dans l'intrigue d'Avatar de James Cameron. Les solutions de sortie de l'intrigue sont les mêmes que Danse avec les loups.

Oui, l'effet trois-dimensions est d'un réaliste saisissant. Surtout quand les écrans seront ovales ou sphériques tout autour du spectateur.

Mais, le réalisme de l'ensemble gagne-t-il à la débauche 3D ? La poursuite de ce réalisme en 2D ne suffit-il pas comme défi ? Après tout, la grande majorité des spectateurs à domicile ne verront que la version 2D rectangulaire... et pour plusieurs décennies.

Bien évidemment, de richissimes clients et quelques geeks se paieront certainement les premiers 3D home studio pour leur logement. Inconvénient : la surface habitable utile va se réduire. Avantage : plus besoin de chauffage avec le projecteur allumé ou en refroidissement permanent.


Sinon, le film vaut évidemment la peine d'être vu. À Montpellier, en premier séance de l'après-midi (avant 14 heures), le Royal, rue Boussairolles, m'a vendu, hier mardi, la place avec lunettes 3D louées : 6,50 euros. Trois euros moins cher que la séance 3D du matin chez un certain concurrent.

2009/12/21

'Happy Feet', joyeuses réflexions environnementales

Surpris, ai-je été en regardant Happy Feet, hier soir sur France 2.

Autant de réflexions environnementales dans un film d'animation.

Qui tient une vérité : si les manchots savaient se médiatiser, ils auraient encore de la glace sous leurs pattes et du poisson dans le gosier.

2009/12/12

Rybak au hasard du Nobel (que mériterait Wyclef)

Je m'installai pour un concert du prix Nobel de la paix... D'abord, je n'en vois qu'une partie de la seconde partie. Il semble que les bienheureux Norvéiens ne subissent pas l'heure d'hiver ou alors, c'est CNN Live qui est mal calé.

Je m'attendai à un concert plein de bons sentiments. Ce fut, en effet, Obamania et paix aux hommes de bonne volonté... et un Alexander Rybak assez moyen.



La musique travaillée et enregistrée passe parfois mieux qu'un orchestre. Le violon va bien malgré sa chute. Comme d'habitude, le cordage est remis à neuf après chaque interprétation.

On excusera le lutin norvégo-biélorusse : son emploi du temps est assez chargé en Europe du Nord et de l'Est. Ça passe par exemple mieux dans une patinoire russe pour la promotion des jeux olympiques d'hiver de 2014 :



Eh oui, un vainqueur de l'Eurovision, ça fait carrière. Dans les pays où on suit le concours avec l'envie de le gagner. Carrière dans la bande originale de film russe :



La surprise du concert Nobel est venue de ma découverte du reggaeman rappeur Wyclef Jean. Ancien de Fugees (one time... two times...) et habitué des soirées norvégiennes, ce qui est peu habituel pour un Haïtien de Brooklyn. Sa prestation en quatre chansons fut revigorante.

Duo avec le pianiste Lang Lang que Wyclef affirme avoir fait écrire la partition par le compositeur de la radio norvégienne le matin même. Suivi d'un rap a capella où Obama est glorifié dans l'idée que l'histoire a avantagé les politicards guerriers plutôt que les hommes de paix.



Pour clore la parenthèse politique avec tact : une chanson plus douce et une nouvelle improvisation interactive pour aller saluer le couple princier, héritier de la couronne norvégienne.



Le Comité Nobel norvégien devrait envisager de donner le prix à cet artiste qui ne compte pas à la dépense pour parler de la paix.

Une bonne soirée même s'il a fallu aller chercher les morceaux manquants sur les sites de partage vidéo.