2010/02/06

Pendant ce temps en Inde... pardon, rue Boussairolles

Pendant que les socialistes parisiens, montpelliérains et languedo-roussillonnais se chamaillent gaiement, allons au cinéma pour une programmation unique mais festive et originale : les soirées de l'association so-Bollywood au Royal.

Régulièrement, un film indien avec ses chansons oniriques bien sûr, deux danses sur scène, l'entracte comme là-bas... pour neuf euros.

Hier soir, ce fut donc Rab ne bana di Jodi par Aditya Chopra avec l'obligatoire Shahrukh Khan : histoire d'amour impossible entre une veuve avant même d'être mariée, épouse contrainte d'un élève (Shahruuuuuuuuukh!!!) de son père, lui-même amoureusement gauche et employé de bureau. Très loin donc de panser le cœur brisée de la dame qui rêve de concours de danse.

Pour changer du tout-Hollywood.