2009/05/09

Star Trek: classic again

D'abord : moi fan de Babylon 5, qu'est-ce que je connais de Star Trek ? Le début de la première saison d'Enterprise avec Scott Bakula. Ça m'avait plu.

Donc, allons voir le onzième film, Star Trek, tout simplement titré donc. Le premier après la disparition de Majel Barrett, veuve Roddenberry.

Ça vaut la peine : recréation de la série classique, version uchronique pour rendre les personnes plus complexes, en recherche d'eux-mêmes pour partir (suite possible) explorer l'univers, et s'amuser des ressemblances entre les personnages d'avant et ceux d'aujourd'hui.

Un trou noir entraîne l'arrivée d'un vaisseau de Romuliens en colère le jour de la naissance de James Kirk, entraînant la mort de son père. En conséquence, celui-ci devient un adolescent rebelle, brillant mais peu efficace quand il s'agit de faire accepter cette brillance par les autres. Parallèlement, Spock essaie de trouver sa place, métis humain-vulcain sur Vulcain... planète finalement menacé par les Romuliens patients, mais toujours en colère. Les deux hommes, qui auraient pu être amis dans une autre série, ne se supportent pas l'un l'autre... Mais, il faudrait tout de même sauver la Terre (film états-unien oblige).

Voilà pour l'intrigue. Pour les clins d'œil, seul celui concernant Enterprise m'a marqué, forcément. Avec un Scotty, génie de la téléportation, qui est banni sur un avant-poste frigorifique par l'amiral Archer : le génie a testé sur le chien de l'amiral l'idée de téléporter un être vivant entre vaisseaux en mouvement...

Recréation pour attirer une nouvelle génération, processus toujours nécessaire pour une franchise. Seulement... la musique originale en générique de fin, désolé, mais ça colle pas. Mais, ce doit être le Babylonien qui parle.