Car, en effet, des pUMPistes électro-cliquables, ça amuse un dimanche soir et un lundi matin. Après, ça ennuie : les enveloppes et le bulletin papier ont leurs inconvénients, mais également, un avantage : ça se recompte facilement, notamment au Conseil constitutionnel. La petite histoire reste cependant hilarante quand un des perdants est cœur et âme voués au vote électronique dans sa commune...
Passer d'un extrême à l'autre aussi, ça ennuie : à Paul-Va, les étudiants bloqueurs veulent interdire le vote secret avec isoloir, enveloppe et libre choix de l'étudiant. Ils veulent débattre en votant ou voter en débattant, tout en public. Dans un isoloir, les deux tiers des étudiants veulent étudier... et ce ne sont les ambiances d'A.G. et les beuveries nocturnes de certains qui les ont convaincu de la méthode de ce mouvement.
Bref, voir plus de 150 ans de suffrage universel [masculin] français utiliser comme un chiffon pour nettoyer les tables au lieu de proposer et régler les problèmes réels... ça énerve.
Prenons donc l'air avec les cyclistes sportifs (pas moi, du dimanche donc) et les journalistes locaux : ils ont reconnu l'étape montpelliéraine du Tour de France cycliste 2009, hier mardi. Ce sera la quatrième en contre-la-montre par équipes, après un départ à Monaco.
Tracé imprécis en ville ; cartographie : IGN 2000 et traitement : BYO Carto Exploreur 3.
Informations utilisées à titre d'informations.
Informations utilisées à titre d'informations.
Ma cartographie est imprécise, mais elle me permettait de pouvoir présenter le profil de l'épreuve (le trait rouge, c'est mon tracé par points ; en vert, le relief sous mon tracé).
Au départ de la Comédie à 9h30, les pauvres journalistes ont subi une bonne averse vers 10h15, après avoir montré efforts dans la montée de Grabels vers Bel-Air, lieu-dit sur l'ancienne route nationale 109, puis les montées/descentes et les virages à 90° (hmmm, celui des Quatre-Pilas au Mas-Dieu) de la route départementale 102 montant vers Murviel, point-ravitaillement.
Pour la portion Bel-Air à Murviel, la Communauté d'agglomération, organisatrice du repérage, doit finalement être heureuse que le Mas-Dieu n'ait pas été transformé en décharge... Vu de l'hélicoptère de France télévisions, ça aurait fait tâche.
La suite fut plus calme, tout cycliste du dimanche connait : descente de Murviel vers Cournonterral (non sans quelques pentes), puis la départementale 5 tout droit vers Pignan, Lavérune et Montpellier. À l'entrée de la commune, une colline pour digérer avant de sprinter vers le stade Yves-du-Manoir.
Au départ de la Comédie à 9h30, les pauvres journalistes ont subi une bonne averse vers 10h15, après avoir montré efforts dans la montée de Grabels vers Bel-Air, lieu-dit sur l'ancienne route nationale 109, puis les montées/descentes et les virages à 90° (hmmm, celui des Quatre-Pilas au Mas-Dieu) de la route départementale 102 montant vers Murviel, point-ravitaillement.
Pour la portion Bel-Air à Murviel, la Communauté d'agglomération, organisatrice du repérage, doit finalement être heureuse que le Mas-Dieu n'ait pas été transformé en décharge... Vu de l'hélicoptère de France télévisions, ça aurait fait tâche.
La suite fut plus calme, tout cycliste du dimanche connait : descente de Murviel vers Cournonterral (non sans quelques pentes), puis la départementale 5 tout droit vers Pignan, Lavérune et Montpellier. À l'entrée de la commune, une colline pour digérer avant de sprinter vers le stade Yves-du-Manoir.
Pour les cyclotouristes montpelliérains, il est appréciable de voir que nos routes habituelles ont été choisis pour cette course internationale. On verra comment les professionnels s'en sortent, le 7 juillet prochain de 14h30 à 17h30. Ils seront par équipes et pressés d'arriver. Il est prévu une moyenne de 54 km/h... pour ces 39 km.
Reste à espérer des retombées économiques, donc fiscales, pour compenser les cent mille euros de la Ville de Montpellier et les soixante mille de la Communauté d'agglomération versés à l'organisateur.